Dubaï, la destination favorite pour une expatriation réussie des entrepreneurs européens ?
32%. C’est le taux moyen de l’impôt sur les sociétés en Europe, entre 2010 et 2016. Les entreprises installées sur le Vieux continent doivent en plus faire face au poids des charges patronales, des taxes et des impôts locaux, etc. La lourdeur administrative vient porter un coup vigoureux à des chefs d’entreprises déjà fragiles, les poussant à s’expatrier à Dubaï…
Les Émirats arabes unis, la porte ouverte sur le succès
Ils sont cadres de grands groupes, avocats, entrepreneurs en herbe, experts comptables ou même anciens fonctionnaires, les Européens sont de plus en plus séduits à l’idée de lancer sa propre entreprise à Dubaï.
Si la TVA n’a été instaurée qu’en 2018 au taux de 5%, la seconde puissance économique du Moyen-Orient profite d’une situation politique et sécuritaire très envieuse. Pas d’impôts sur les bénéfices, absence des charges patronales, possibilité de ne pas avoir d’associé émirati, exclusion à la double imposition, immatriculation rapide, etc., la création de sociétés à Dubaï offre de nombreux avantages selon la forme juridique que vous aurez choisie (free-zone, offshore ou Mainland)
Un émirat obstinément tourné vers l’avenir
Dubaï, ce sont des investissements massifs dans des secteurs tels que l’immobilier, le tourisme ou encore le transport. Organisateur de l’Exposition universelle 2020, reportée en 2021 à cause du Coronavirus, le pays compte bien attirer 25 millions de visiteurs.
Une véritable aubaine pour les entreprises qui souhaitent lancer leurs activités dans les secteurs des services, du consulting, des loisirs, de l’import-export ou encore de la restauration. Le faible taux de criminalité dont profite le pays permet aux expatriés de s’y installer en toute sécurité.
En ce qui concerne la création d’entreprise à Dubaï, les démarches administratives sont simplifiées au maximum, ce qui permet de se lancer dans les meilleurs délais. Sur la carte, les Émirats arabes unis occupent une position privilégiée, notamment en donnant accès au marché asiatique, du Moyen-Orient et même de l’Afrique avec les pays du Maghreb.